Ressources
Documents et archives
Synthèse du rapport final de l’IVD :
Correspondances entre des rapporteurs spéciaux et rapporteuses spéciales de l’ONU, et l’État Tunisien.
- Lettre AL TUN 2-2021
- Réponse à Lettre AL-TUN 2-2021
- Lettre AL TUN 4-2023
- Réponse à Lettre AL-TUN 4-2023
Archives incomplètes du site de l’Instance Vérité et Dignité :
Organisations non gouvernementales
- Association Tunisienne des Femmes Démocrates (AFTD)
- Avocats Sans Frontières (ASF) (Page tunisienne sur Facebook)
- Bawsala
- Fédération Internationale pour les Droits Humains
- Forum Tunsien pour les Droits Economiques et Sociaux (FTDES)
- Human Rights Watch
- Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme
- Organisation Mondiale Contre la Torture
Presse
- Blog de Sihem Bensedrine sur Mediapart
- Justiceinfo.net, voir les articles sur la Tunisie
- OrientXXI, voir les articles sur la Tunisie
Presse : OrientXXI – anciens articles
Amnistie contestée pour les délits économiques en Tunisie, par Thameur Mekki, 10 novembre 2015
Extrait : Le projet de loi de réconciliation dans les domaines économique et financier impulsé par le président Béji Caïd Essebsi suscite interrogations, conflits et opposition. La ligne de fracture du paysage politique tunisien passe désormais entre ceux qui veulent lutter contre l’impunité et ceux qui préfèrent passer l’éponge au nom de la relance de l’économie.
Ces vies brisées par la dictature tunisienne, par Olfa Belhassine, 12 janvier 2017
Extrait : Témoignages des victimes, silence des tortionnaires · Six ans après la chute du régime, les auditions publiques des victimes tunisiennes d’atteintes graves aux droits humains ont permis à plus de vingt victimes choisies par l’Instance vérité et dignité (IVD) de présenter des témoignages à la fois glaçants et poignants. Diffusées en direct et en prime time sur quatre télévisions tunisiennes, ces auditions se poursuivront pendant plus d’une année.
En Tunisie, le passé est un enjeu d’avenir, par Pierre Puchot, 7 juin 2017
Extrait : Depuis la révolution, la concurrence des deux grands récits nationaux pèse sur la période de transition. Face à l’idéalisation de la période bourguibienne portée par l’élite au pouvoir, le projet révolutionnaire peine à bouleverser l’ordre ancien. Les témoignages produits dans le cadre du processus de justice transitionnelle peuvent tout changer.
Tunisie. Vers l’enterrement des années sombres de la dictature , par Thierry Brésillon > 30 avril 2018
Extrait : Fin mars 2018, les députés tunisiens ont refusé de prolonger le mandat de l’Instance vérité et dignité. Ainsi, les forces politiques unies cherchent à en finir avec la justice transitionnelle qui a dû se déployer dans un environnement hostile. Mais le travail de la mémoire s’inscrit dans le temps long.
Presse : Justice Info – anciens articles
Les attaques contre la commission vérité tunisienne reprennent, par , 23 janvier 2024
Extrait : L’ancienne présidente de l’Instance Vérité et Dignité, Sihem Bensedrine, soutenue par l’Onu, a réagi le 12 janvier aux dernières accusations de « falsification » du gouvernement tunisien. Les attaques ont immédiatement repris contre l’IVD dans les médias favorables à l’ancien régime de Ben Ali. Sur fond de condamnation finale de la Tunisie, fin décembre, à verser des réparations financières dans l’affaire de la Banque franco-tunisienne.
Documentaires
Tunisie : les voix de la révolution, de Karim Miské et Marc Ball, 2017. Durée : 51 min, sur Dailymotion
Un passionnant aperçu d’une transition démocratique qui ne tient pas ses promesses. Née avec la révolution tunisienne, l’Instance Vérité et Dignité est chargée de recueillir la parole des victimes de la dictature et d’amener les bourreaux à reconnaître leurs actes. En 2014, trois ans après la chute du régime de Ben Ali, la nouvelle Constitution tunisienne instaure le principe d’une « justice transitionnelle » : créée dans la foulée, l’Instance Vérité et Dignité (IVD) est chargée de recueillir les témoignages des victimes de la dictature, d’évaluer la nature des réparations pour les exactions commises entre 1955 et 2013, et d’amener les bourreaux à reconnaître leurs actes. Un chantier titanesque, dont ce film, nourri de nombreux témoignages, documente le quotidien. Jour après jour, hommes et femmes viennent raconter, souvent avec beaucoup d’émotion et de dignité, comment l’État tunisien a brisé leur vie et celle de leurs proches, banalisé la torture et fait de chacun un suspect potentiel. Le film documentaire suit aussi une équipe mobile dans le Sud, à Ouled Chraït, le village de Lazhar Chraïti, l’un des putschistes exécutés en 1963 par Bourguiba, premier président de la Tunisie indépendante.
Autres ressources
Human Rights Watch, chapitre sur la Tunisie :